• C'est l(histoire d'un homme qui chercher partout la petite fille qu'il a perdu dans le métrio de NY quelques mois plus tôt. Il a l'air mal, demande à tout le monde. Semble perdre les pédales.

    Il rencontre des gens. On le suit. Et petit à petit on comprend qu'il est fou. Trop mal. Et que c'est sans doute lui ui a fait disparaitre son enfant. On tremble du reste pour l'autre petite fille qu'il prend plus ou moins sous son aile et dont il semble lui-même vouloir se protéger.

    Le film est TRES fort. On est bousculés dans tous les sens du terme, complètrement paumé comme le type... livré à nos interrogations et confronté à ce que la folie peut avoir de terrible et de banal. Parce qu'il n'est pas sans charme le bonhomme. Et que même quand on le devine pédophile ou insectueux, on est suffisemment proche de sa souffrance pour se poser les questions qu'on ne se pose pas souvent : qu'est-ce qui ne va pas chez lui ???

    Grand film aussi dans la forme qui épouse au plus proche l'errance physique et mental du personnage. C'est noir, moche, tremblant. Comme il faut.

    L'acteur, Damian Lewis, est hallucinant. Ambigue comme perosnne... il es tà la fois le charme et l'horreur, l'enfant et l'ogre, le bourreau et la victime.


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  • Un monde fou pour voir le film au ciné du quartier. C'est le genre de film qui ravit les foules du 16ème. Valérie Lemercier, elle, vise un cran au dessus et c'est les têtes couronnées qu'elle brocarde, cette fois.

    Le pitch est simple : c'est la vie de la princesse Diana, à peine modifiér et transportée en Belgique.

    Le principal attrait du film est Lambert wilson, absoluement irresistible dans le rôle du prince décontracté et arogant (il me faisait TROP penser à Arnold). Superbe et plus drôle que drôle.

    Le reste est marrant, mais peut-être pas tout à fait assez méchant. La fin notamment est un peu précipitée. Mais si on prend toutes les scnes une par une, il faut bien avouer qu'elles sont très marrantes et sans doute très proche de ce qui se passe vraiment dans ce monde étonnant des têtes couronnées.

    Très chouette en tout cas pour une lectrice de GALA passionnée comme moi.


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  • Ca ne commence pas très bien. Genre la vie amoureuse et apparemment bientôt la séparation de deux zèbres bobos échappés d'un roman d'Alexandre Jardin. Ils ne sont plus très sur d'avoir envie de vieillir ensemble et se donnent une sorte de rendez-vous. il sera sur un quai de métro, un soir à une heure précise. Si elle sort du métro à l'heure convenue, devant lui... chababadada, ce sera reparti comme en l'an 40. Sinon et bien il n'aura plus qu'à comprendre qu'elle est en train de faire ses bagages à la maison et que c'est terminé.

    Franchement, je n'étais pas emballée.

    Mais très vite le petit livre devient tout autre chose. On s'intéresse beaucoup aux personnes qui se trouvent autour de madame (qui est dans le métro, mais qui n'est pas descendue, faut pas chercher à comprendre). Qui sont-ils, ou vont-ils, qu'ont-ils dans la tête, qu'est ce qui les fait rire, de quoi ont-ils peur etc ???? J'adorerait lire ainsi dans la tête de chacun de mes voisins. Ou a défaut avoir assez d'imagination pour trouver une vie qui colle à leur visage..

    Bref si on s'interesse autant à eux, c'est que leur vie va vite prendre un raccoucit un peu inattendu. Je ne vais pas resepcter l'embargo implicite de l'éditeur sur ce livre. C'est l'attentat. Et c'est assez fort. Parce qu'évidemment derrière toutes ses victimes d'attaque dont on (je) parle tous les jours, il y a des femmes des infidèles, des pervers perdus, des jeunes filles en fleur et des soixante-huitard attardés !!!


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  • La plus belle sortie de l'année pour Ben. PAs mal du tout. On sort sous la neige. Comme sur HOTH !!

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  • Je fatigue. Mes horaires sont déments et je ne tiens plus debout. Les enfants ne veulent pas sortir.

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