• Super film que je n'avais pourtant aucune envie de voir. Sans doute parce que je n'ai pas trop lu les magasines ou regardé la télé ces denriers temps, mais sans doute que la pub autour du film n'es tpas non plus ce qu'elle émriterait d'être.

    Bref, The Constante Gardener est l'adaptation d'un livre de John le Carré. Je n'en avait vu qu'une avant ; le tailleur de Panama et celle-là est infiniment plus convainquante. Précisons toutefois que je n'ai pas lu le livre.

    L'histoire est celle d'un couple dont on apprendrea très vite que Madame (Tessa) a été tuée et même plus sur une route du Kenya. Juste après, on nous raconte la manière dont ces 2 là se sont rencontrés (très romantique d'ailleurs). On les voit partir ensemble en Afrique. Lui diplomate réveur, elle passionaria charmante. Il travaille. Elle milite. Elle le gêne. Il l'aime. Et quand elle est assassinée, tout est remis en question.

    Leur couple était il solide ?

    Que faisait elle toujours fourée avec un émdecin humanitaire ?

    Quelles étaient ses relations avec les autres membres de la mission britanique.

    Avec Ralph Fiennes, on va remonter tout le fil d'une enquête qui donne envie de pleurer parce qu'on sait que tout cela n'est pas totalement invité. Ou en tout cas que c'est tellement vraissemblable.

    L'Afrique encore une fois victime de son malheur, interne et exporté.

    C'est fort. Et c'est beau en plus.


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  • On ne s'en lasse pas. J'ai attapé le livre un soir en rentrant du travail, parce que je ne voulais réveiller personne en allant chercher le livre en cours sur ma table de nuit... Et comme d'habitude, je me suis laissée prendre.

    En fait, et d'une certaine manière, Orgueil et Préjugé est l'ancêtre de tous les romans Harlequin (en tout cas de la collection blanche qui est la seule dont j'ai lu quelques exemplaires dans ma jeunesse... je ne voulais pas mourir idiote). Le principe est donc le suivant : L'héroine prend en grippe un homme (assez viril de préférence)... et tombe plutôt sous le charme d'un autre garçon, plus aimable, mais qui s'averera avoir des vices cachés. Finalement, l'HOMME aime la jeune fille. Le lui fait savoir et elle réalise que ce qu'elle prenait pour de la distance n'était en fait que de la réserve... et sans doute de l'amour. Ils s'aiment. Le livre se termine.

    Sauf que là... c'est génial.

    Premièrement, tout cela se passe dans ce monde que j'aime tant. Cette Angleterre corsetée, pleine de règles et de convenance... de non-dit et d'apparence. Surtout, Jane Austen est un auteur étonnant. On sent qu'elle s'amuse et se moque de la plupart de ses perosnnages. Même d'Elzabeth, qu'évidemment j'adore, et qui est d'une certaine manière son porte-parole. La charge est parfois un peu lourde, mais l'élegance de l'écriture, même traduite, fait le reste. Et puis... c'est une histoire d'amour. Moi, DArcy je l'aimais dés le début, alors j'aime lire et relire les différentes intrigues qui vont permettre à ces deux là de se dire qu'ils se plaisent.

    Un film sort la semaine prochaine. J'irai voir. Je suis prête à être déçus mais après tout, on ne sait jamais.


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  • Photo historique : Ben mange un haricot !

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  • Ben est fasciné. Et moi... je tremble. est-ce que lui uassi il jouera comme ça quand il aura 15 ans ?

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  • Personne n'a gagné l'euromillion. Plus de 100 000 euros la prochaine fois !

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