• L'Etourdissement

    Joel Egloff

    Prix du Livre Inter ce qui sucite toujours une certaine curiosité chez moi.

    Le pitch : un homme raconte sa vie. sans ordre ni chronologie particulière. De petits instantanés d'une existence parfois à la limite du surréalisme. Il travaille dans un abbatoir. Coincé entre une décharge, une station d'épuration et un aéroport. Une vie glauque dont il espère vaguement d'échaper un jour. Mais ça reste vague.

    Livre incroyable vraiment. Premier bon point : c'est court. On avale le tout en une heure et demi. Et puis, c'est TREs original. On croit tout de suite à ce "pays", cet endroit, qui ressemble presque à des endroits qu'on aurait croisés... ou on aurait jamais voulu naitre. Le narrateur emporte notre symathie par la naiveté avec laquelle il raconte les choses. Et aussi parce qu'il est drôle... A se demander parfois s'il le fait exprès d'ailleurs.

    tout cela m'a beauocup fait penser aux petites recherches que j'avais fait loesque je traviallais chez Dechavanne et que je préparais une émission sur la viandE. Une chercheuse m'avait alors parlé de la détresse méconnue et mal suivie du personnel des abattoirs. Dans le cas de ce livre, on sent bien sur que l'abattoir est AUSSI une image. Mais pour moi, ce n'était pas que cela.

    La scène que je n'oublierai pas : celle ou le narrateur et son ami (bortsh je crois) doivent aller annnoncer à Madame Pignolo que son mari est mort. Ils n'arridvnt pas lui dire. Passent la soirée à regarder la télé avec elle... guettant le bon moment pour lui dire. Bien sur, ce moment n'arrive pas. Très drôle.

    Humour noir bien sur.


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  • C'est la fête de la musique et pour une fois, il fait beau. Personnellement je n'en profite guère puisque comme d'habitude je suis au travail.

    J'en profite tout de même pour opérer un changement utile. Coupe très radicale des cheveux. 20 cm en moins. Ca fait du bien !


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  • Spectacle du gorupe théatre de Judith. Sur la guerre. Les enfants enrôlés pour être plus précis. Judith sourit tout le temps. C'est ravissant mais peu en rapport avec le thème de la représentation. Je ne suis pas sure que David leur ai vraiment expliqué de quoi ils parlaient.

    Ben, lui, a passé l'après-midi à se faire arroser au jet d'eau dans la cour de son école.


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  • Spectacle de judith à Mogador. C'est la plus petite. Mais une des plus forte ! Très souriante en tout cas. Ca se voit du balcon. Dans la salle il fait bien bien chaud. Mais le comité de soutien (Pierre, Ben, Claude, Marie-Laure , Valentine et moi ) tient le choc.

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  • Ca nous aura pris la journée, mais tous les rideaux sont posés. Pierre est légitimement fière de lui. Nous allons enfin tous pouvoir faire la grasse matinée


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