• Lu juste après le houllebecq, et le moins qu'on puisse dire.. c'est que ça change.

    Premier bon point : le livre s'avale en un instant (ou presque, faut pas charier, il est long tout de même ! ). il est rédigé rpesqu'entièrement en dialogues. On ne voit pas le temps passer.

    L'histoire, c'est celle de Camille, Phlibert, Franck et Paulette. Paumés, chacun à leur manière. qui vont finir par se frotter les uns aux autres pour aller mieux. Et ca va marcher.

    On s'attache aux personnages très vite. Et on devine aussi que comme dans un Harlequin, la jeune fille paumé et le cuisiner bourru qui se détestent au début, vont finir par se tomber dans les bras l'un de l'autre. Avant de s'éloigner. Puis de se retrouver.

    Moi j'avoue que je me suis laissée faire, même si j'ai regretté que par moment, le livre tombe dans une sorte de mievrerie qui finissait par me géner. Mais c'était rare. toujours pour une reflexion de trop. Un cliché superflu. Sinon... je ne vais pas me faire plus bourue que je ne le suis. Ca m'a plu que tout finisse bien.

    On sent qu'elle aime le genre humain ANNA GAVALDA. Elle sait bien regarder les gens. Et noter ces petites choses qui accorchent l'attention.

    Certians regretteront qu'elle manque de mystères. quand chaun livre tous ses secrets. Que chaque attitude trouve au final son explication. Moi.. j'aime bien. Ca me donne l'impression qu'on ne sest pas moqu" de moi.Qu'on a pris le peine de finir le romain (cf. Broken flowers vu recemment et dont je sius ressortie trop frustrée)

    Bref, un bon moment. un livre de plage ?


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  • Lu dés la sortie. Avec quelques difficultés à m'accrocher au début je dois dire.

    A mon avis, houellebecq a tort de dire partout que c'est son meilleur livre. Je ne suis pas d'accord du tout. Et j'ai préféré... tous les autres.

    L'extension du domaine de la lutte avait le mérite de créer un univers... les particules élementaires étaient plus... justes. Plateforme plus drôle... celui là est juste plus... long ? (Non, pas sur, mais il m'a semblé !). J'ai même carrément eu du mal à m'y mettre. Disons le tout net : le début est raté.

    L'histoire c'est celle d'un type qui vit dans quelques année... humoriste grincan et desespéré. Il racnte sa vie et sa rencontre avec le mouvement des elohims, une secte qui essaye de cloner les humains pour atteindre l'immortalité. Son recit est entrecoupé des commentaires de quelques uns de ses clones du futur. Daniel 24 et 25.

    En fait, ce qui est génant dans ce livre, c'est de lire autant de choses à la fois justes et desespérantes. Pour quelqu'un qui se veut optimiste (comme moi) c'est un défi. Et je pense que c'estla cause à la fois du rejet et de l'enthousiasme que soulève le roman. 

    Houellebecq lui-même aime beaucoup parler des qualités littéraires de son oeuvre. Personnellement, je trouve que ce sont surtout d'excellents manuels de sociologie. Je n'ai jamais rien lu ou vu de plus acéré sur notre monde. Deplus desespéré non plus... mais ca, c'est son parti pris.

    Je suis aussi très surprise que son livre soit pris aussi au sérieux. Car c'est tout de même souvent très drôle. Il s'amuse et critique. On a l'impression que pour beaucoup de lecteurs, Houellebecq approuve tout ce qu'il écrit. Ou vont ils chercher tout cela ??

    Je n'ai pas aimé du tout le début très poussif du livre qui m'a accroché parce que je savais pourvoir espérer mieux par la suite. Mais j'admire la clairevoyance et l'imagination qui l'ont aidé à construire ce monde à l'extrême limite de la sciences fiction. Comme je ne connais pas du tout les livres de ce genre, je suis toujours bluffée qu'on me propose un monde différent. qu'on ai pris la peine d'en percevoir la cohérence. Pour moi.


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  • Avant le film chorale... le livre chorale !!!

    Irène Nemirovski suit une petite dizaine de personne pendant l'exode de la 2ème guerre mondiale. Au mois de juin. Quand tout le monde à cru qu'il fallait quitter Paris.

    Comme d'habitude... elle croque avec cruauté... les grands et les petits de ce monde. Les grands surtout. Elle est irresisitble dans sa peinture de la bourgeoisie, des artistes, des collectionneurs... tous méchants, oublieux, et confrontés, il faut le dire, à un moment compliqu" de l'histoire.

    Evidemment, à peu près personne ne s'en sort à son avantage... et je crains qu'elle n'ait été assez réaliste dans sa peinture de la débacle.

    J'ai particulièrement aimé la peinture de la famille qui habite boulevard Delessert, tout près de chez moi en plus... fmaille nombreuse, pieusement catholique... en réalité obsédée par l'argent. Le seul sauvable de la fmaille , un prètre, sera tué par des jeunes orphelins qu'il guidait vers le sud. Tout est dit.


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  • Film social. autour du judo. bouleversant.

    Un jeune homme qui vient de passer son bac...  qui vient d'un milieu modeste et qui excelle au judo, fait la connaissance d'un bourgeois... judoka également... qu'il est prié de coacher un peu. Les 2 garçons s'entendent bien. Ils se fréquentent et un jour, pendant un entrainement... ils partagent la copine... assez coquine il faut dire, du prolo.

    La fille croit que son copain a trouvé ça très bien. De fait... il semble avoir toruvé tout cela pas mal... et ils s'arrangent pour se retrouver dans une nouvelle situaiton du même genre. Mais là... le plus démuni des deux garçons se sent comme... spolié. Il s'échappe et en veut aux autres...

    Parallèlement à ça, il doit perdre beauocup de poids très vitre pour une compétition qu'il va planter à cause de ses histoires de coeur. Des histoires plus lourdes que ça, en fait.

    Le film est très fort parce que pas manichéen. La copine et le bourgeois ne sont pas des salauds. Pas du tout. Mais le héros du film s'exlu lui-même... renonce tout seul. Semble ne pas se sentir de taille à lutter et en conçoit ue amertume qu'on devine pleine de colère. Même s'il reste assez passible

    Parallèlement à ça on découvre sa famille. Des gens plutôt très sympas... mais comme tout le monde... Pas toujours à la hauteur de la situation. Pas formidables tout le temps. Certaines toutes petite scènes font comprendre ce que c'est de manquer VRAIMENT d'argent. Quand ils utlisent une pince pour utiliser le dentifrice jusqu'au bout par exemple....

    Bref, ça m'a plu et marquée à coup sur.

    a suivre !


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  • une avocate un peu déjantée cède - pour un soir - aux avances d'un de ses clients lourdeau. Pour se débarasser de lui, elle prétend que son appartement va être en travaux. Elle se laisse prendre à son propre piège, lance vraiment les travaux et se trouve plongée dans une immense pagaille essentiellement sud-amércaine. Très bordélique... mais très sympa.

    Le film est assez euphorisant. L'ambiance y est formidable. Les ouvriers sont jovieux et assez surréalistes. La réalisatrice, qui ne cache pas ses ambitions militantes, n'oublie pas de nous laisser deviner les rasons pas drôles qui ont amené tous ceux gens "à travers les océans" pour venir galérer chez nous. Ca m'a beaucoup fait penser à Solice.

    Le seul hic, en fait, c'est la personne sur laquelle a pourtant été organisée toute la promotion du film. Carole Bouquet est magnifique et sympathique, mais... elle manque de légèrté. De fantaisie. D'un je ne sais quoi qui aurait permis au film de décoller totalement,; je verrais mieux Catherine Deneuve là-dedans. Mais je ne suis pas sure qu'elle voudrait !

    Et puis bien sur, une mention spéciale à JP CAstaldi. Totalement hilarant dans son rôle d'amoureux éconduit.


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