• C'est l'histoire d'un enfant assez mal parti si vous voulez mon avis. Dans la critique de TELERAMA que j'ai lu avec attention en sortant du ciné, ils parlent beauocup de l'amour des parents pour ce bébé qu'on ne verra qu'emmitouflé pendant tout le film. J'avoue ne pas en avoir la trace pour ce qui concerne le père. Et que c'est bien là, à mon avis, le sujet du film.

    Bref, l'Enfant raconte les premiers jours de la vie d'un petit bébé, né d'un père et d'une mère dans la mouise. Maman a l'air paumé. Mais a un petit appart'. Papa est une petite frappe qui se pense libre et qui ne semble pas ravi de cet enfant. Pas ravi non plus de sa copine selon mes critères, mais je suis sans doute trop petite bourgeoise. Maman rentre de l'hopital donc, elle montre le bébé à son homme qui ne va pas trouver d'autre idée que de proposer de vendre ce bébé à des gens qui ont des fillères pour cela (vers l'adoption précisons). La maman dénonce le papa aux services sociaux. il essaye de retrouver son bien. Y arrive, mais en ayant perdu les frais de change au passage. Dans le même temps, il met un autre jeune garçon vraiment dans la mouise. Acculé, il fini par se rendre à la police qui l'envoit en prison ou il reçoit la visite de sa copine qui avait pourtant l'air bien fachée du temps ou il vendait leur enfant.

    Le pb, comme toujours, avec ce genre de film, c'est que j'ai du mal à sortir du côté documentaire du film. Je m'indigne d'une situation et de réactions qui sont pur fiction.

    En l'occurence, ils touchent un peu à l'essentiel. A ce quo'n fait de ses enfants. Je n'ai pas resisté à l'envie de détester le jeune homme. Sa liberté humide et triste ne m'a pas paru valoir la peine. Je ne comprends pas assez.

    Mais le film est fort. Comme un monde sans pitié.


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  • C'est l(histoire d'un homme qui chercher partout la petite fille qu'il a perdu dans le métrio de NY quelques mois plus tôt. Il a l'air mal, demande à tout le monde. Semble perdre les pédales.

    Il rencontre des gens. On le suit. Et petit à petit on comprend qu'il est fou. Trop mal. Et que c'est sans doute lui ui a fait disparaitre son enfant. On tremble du reste pour l'autre petite fille qu'il prend plus ou moins sous son aile et dont il semble lui-même vouloir se protéger.

    Le film est TRES fort. On est bousculés dans tous les sens du terme, complètrement paumé comme le type... livré à nos interrogations et confronté à ce que la folie peut avoir de terrible et de banal. Parce qu'il n'est pas sans charme le bonhomme. Et que même quand on le devine pédophile ou insectueux, on est suffisemment proche de sa souffrance pour se poser les questions qu'on ne se pose pas souvent : qu'est-ce qui ne va pas chez lui ???

    Grand film aussi dans la forme qui épouse au plus proche l'errance physique et mental du personnage. C'est noir, moche, tremblant. Comme il faut.

    L'acteur, Damian Lewis, est hallucinant. Ambigue comme perosnne... il es tà la fois le charme et l'horreur, l'enfant et l'ogre, le bourreau et la victime.


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  • Un monde fou pour voir le film au ciné du quartier. C'est le genre de film qui ravit les foules du 16ème. Valérie Lemercier, elle, vise un cran au dessus et c'est les têtes couronnées qu'elle brocarde, cette fois.

    Le pitch est simple : c'est la vie de la princesse Diana, à peine modifiér et transportée en Belgique.

    Le principal attrait du film est Lambert wilson, absoluement irresistible dans le rôle du prince décontracté et arogant (il me faisait TROP penser à Arnold). Superbe et plus drôle que drôle.

    Le reste est marrant, mais peut-être pas tout à fait assez méchant. La fin notamment est un peu précipitée. Mais si on prend toutes les scnes une par une, il faut bien avouer qu'elles sont très marrantes et sans doute très proche de ce qui se passe vraiment dans ce monde étonnant des têtes couronnées.

    Très chouette en tout cas pour une lectrice de GALA passionnée comme moi.


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  • Ca ne commence pas très bien. Genre la vie amoureuse et apparemment bientôt la séparation de deux zèbres bobos échappés d'un roman d'Alexandre Jardin. Ils ne sont plus très sur d'avoir envie de vieillir ensemble et se donnent une sorte de rendez-vous. il sera sur un quai de métro, un soir à une heure précise. Si elle sort du métro à l'heure convenue, devant lui... chababadada, ce sera reparti comme en l'an 40. Sinon et bien il n'aura plus qu'à comprendre qu'elle est en train de faire ses bagages à la maison et que c'est terminé.

    Franchement, je n'étais pas emballée.

    Mais très vite le petit livre devient tout autre chose. On s'intéresse beaucoup aux personnes qui se trouvent autour de madame (qui est dans le métro, mais qui n'est pas descendue, faut pas chercher à comprendre). Qui sont-ils, ou vont-ils, qu'ont-ils dans la tête, qu'est ce qui les fait rire, de quoi ont-ils peur etc ???? J'adorerait lire ainsi dans la tête de chacun de mes voisins. Ou a défaut avoir assez d'imagination pour trouver une vie qui colle à leur visage..

    Bref si on s'interesse autant à eux, c'est que leur vie va vite prendre un raccoucit un peu inattendu. Je ne vais pas resepcter l'embargo implicite de l'éditeur sur ce livre. C'est l'attentat. Et c'est assez fort. Parce qu'évidemment derrière toutes ses victimes d'attaque dont on (je) parle tous les jours, il y a des femmes des infidèles, des pervers perdus, des jeunes filles en fleur et des soixante-huitard attardés !!!


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  • Film jaune et générationnel. Conçu pour produire de la réplique culte... et ça marche.

    l'histoire est simplette. Brice habite Nice. C'est un enfant ga^té de ... 25 ans ???? Il se rêve en surfeur et attend LA vague. Il a des tas de copains qu'il invite à de super soirées ou il s'amuse à KASSER tout  le monde. jusqu'à ce que son papa parte en prison. Qu'il soit obligé de bosser... Qu'il rencontre un garçon bizarre et qu'ils partent ensemble pour le sud ouest ou l'attend une compétion de surf. Rien de super fantastique dans le scénario qui tire un peu en longueur... mais pas mal de personnalité dans le style, dans l'ambiance du film qui a - pour moi - le mérite de caricaturer comme ils le méritents les autochtones du Midi et du Golfe de Gascogne.

    Jean-Dujardin n'en fait pas des tonnes, mais encore plus que ça. Et c'est plutôt charmant.

    Bref, le film est stupide, mais si j'avais 12 ans, moi aussi je voudrais le connaitre par coeur.


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